145e goutte : Ne pas parler pendant la tefila: un sacrifice unique
BECHEM HACHEM NAASSE VENATSLIAKH
Bné Brak 12.03.19 – 5 Adar 2 5779 (145ème GOUTTE) – VAYIKRA
Ne pas parler pendant la tefila: un sacrifice unique
Poursuivons notre étude sur les sacrifices. L’occasion d’en offrir un à Hachem se présente à nous régulièrement lorsque pendant la prière nous avons une envie démesurée de parler avec notre voisin.
Le fait de se retenir de parler est un sacrifice que l’on offre à Hachem.
Les moments de la Tefila où le silence s’impose
Il convient ici de préciser une Halakha qui échappe à une bonne partie d’entre nous. Durant la prière du matin (Chaharit) il est formellement interdit de parler à partir de Baroukh Chéamar jusqu’à la fin de la répétition de la ‘Amida. Il en va de même pour la prière de Arvith où l’on n’a pas le droit de prononcer la moindre parole, du 1er kadich à la fin de la Amida.
Laisser les sujets de discussion profanes à l’extérieur de la Synagogue
Nous avions déjà précisé que le fait de s’entretenir de paroles profanes dans le lieu même de culte, est un mépris profond envers Hachem, surtout durant ces passages de la Tefila où l’on doit observer le silence le plus strict.
Il en va de même durant les Kadichim et la répétition de la ‘Amida, où nous voyons souvent des personnes parler, malheureusement.
Celui qui se retient de parler dans les moments où il brûlerait d’envie de répondre à ses amis, sanctifie le Nom de D’, et procure une grande protection au Peuple d’Israël.
Que par notre respect de la Tefila, celle-ci soit exaucée et nous rapproche de la venue du Machia’h.